Bonjour monsieur mon mari

Nombre de messages : 39 Age : 34 Date d'inscription : 26/12/2009

Vassilissa avait décider d'aller retrouver son tendre et bel amour de mari. Cette semaine, sa soeur gardait leurs deux adorables filles. Elle allait avoir toutes la semaine pour s'occuper de son petit mari. Elle sourit doucement en frappant à la porte. Il aurait une surprise de taille en voyant sa femme dans la tenue qu'elle portait. Elle avait fait cru qu'elle avait jetter la tenue tout comme lui mais non. Celle qu'elle portait leurs de leurs fiancailles, elle avait eu peur de ne pas rentrer dedans mais finalement, elle était encore parfaite

En dessous de sa robe de sorcier, la jeune femme portait une longue jupe fendue sur le coté gauche à partir des genoux, dévoilant sa magnifique jambes, un petit top leger et décolter mais pas quelques choses de provoquant et dans le sac qu'elle avait en dessous, la broche qu'elle portait dans ses cheveux, qu'il lui avait offert quand il était venu la chercher, une rose rouge au coeur noir.

Andreï travaillait, il corrigeait les devoirs que ses élèves de sixième année lui avaient rendus ce matin. Au fur et à mesure que les copies passaient devant ses yeux, il se demandait comment certains faisaient pour lacer leurs chaussures ou même, pour se lever le matin sans tomber. Il lut quelques phrases d'un travail devant ses yeux.

" La brouette est un animal de compagnie moldu. Il les aide à faire la cuisine, la vaisselle et à étendre le linge sans faire usage de la magie. Il est très affectueux mais peut parfois se fâcher très fort et mordre son propriétaire qui doit alors le punir."

La suite était du même acabit, ineptie sur ineptie. Cet élève était shooté ou quoi ? Ptêt endormi ? Andreï regarda le nom de l'écrivain ... qui était une écrivaine : Kaede Tenshi, serpentard. Andreï poussa un soupir las, qui voulait tout dire. Il finit par se demander si c'était pas lui qui donnait mal son cours, quand il entendit frapper à la porte.

- "Oui ? Entrez !"

[HS : /s'incline respectueusement devant Kaede ... Gomen !!!]

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Vassilissa entra alors dans la pièce avec un grand sourire. Elle ferma la porte et enleva sa robe de sorcier dévoilant les habits moldus de leurs fiancailles. Elle s'avanca devant le bureau de son mari et posa ses mains sur les feuilles.

- Bonjour beau mâle, je venais prendre de tes nouvelles... et je sens que tu va vite changer d'occupation mon beau.

Hum, en vériter Andreï n'avait pas véritablement le choix s'il voulait continuer de la voir sourire durant la semaine, bien que venant d'une famille plus ou moins nombreuse, la jeune femme avait parfois des attitudes d'enfant gâtée. Elle sourit et jetta un bref coup d'oeil au feuille de son mari, elle manqua de rire en lisant quelques phrases, heureusement qu'il s'était inscrit à un cours d'études des moldus ... ou pas, elle n'avait pas envie que son petit mari fasse une crise cardiaque.

Andreï releva la tête de ses papiers et eut un immense sourire lorsqu'il vit sa femme chérie débarquer dans son bureau. Il la trouvait toujours aussi magnifique et resplendissante, même après des années de mariage. Elle enleva sa robe de sorcier et il eut le souffle coupé un instant. Cette tenue, il la reconnaissait entre milles ... C'était celle qu'elle portait lorsqu'il l'avait demandé en mariage. Elle lui allait toujours aussi bien ...

- "Bonjour mon coeur. Je vais très bien, à part de sérieux doutes sur la santé mentale de certains élèves." fit-il en secouant quelques copies. "Mais si tu venait plutôt t'asseoir, le temps que je range tout ca ?" Il accompagna ses paroles en reculant sa chaise et en tapotant ses genoux.

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Vassilissa sourit en voyant que lui aussi se posait des questions sur les élèves vu leurs réponses, en même temps, c'était surement des sorciers pur. Elle un sourire et alla l'embrasser avant de s'assoir sur ses genoux amoureusement.

- Il s'agit surement d'élèves qui n'ont aucune connaissance des moldu ou justes des cours qu'ils ont eu. Cela expliquerais beaucoup de choses notamment cet histoire de brouette, qui fait légerement peur. Enfin avant de venir à Moscou j'aurais surement raconter ce genre d'ineptie.

Elle passa une main sur le torse de son tendre amour en souriant, elle adorait le voir bien et tous sourire mais une question lui taraudait l'esprit depuis la fin de son premier cours. Lui qui avait plus de contact avec sa fieulle.

- Et comment va ta farceuse de fieulle?

Elle était sur et certaine qu'il s'inquiéterait pour elle, vu sa pâleurs des derniers jours.

Andreï répondit au baiser de sa femme puis referma ses bras autour de sa taille une fois celle-ci installée sur ses genoux. Il l'écouta commenter les ouvres des élèves.

- "C'est vrai que ca fait peur. Si tout les sorciers "sang-pur" ont de telles informations sur les Moldus, je ne trouve pas étonnant qu'ils les trouvent inférieurs. La différence fait peur et ils cachant cette peur derrière du mépris et de la supériorité."

Sa femme le caressa et Andreï poussa un soupir de contentement. Ce qu'il adorait être près d'elle, avec elle. Il suffisait qu'elle soit dans un rayon de quelques mètres et il pètait la forme. C'était sa vitamine personelle, rien qu'à lui. Cependant, elle le fit redescendre sur terre aussi vite qu'il était monté, lorsqu'elle lui demanda des nouvelles de Tilia.

- "Euh ... Et bien ..." Puis Andreï poussa un soupir à fendre une pierre. "Elle ne va pas trop bien. Elle se néglige ... Elle ne respecte pas son traitement et ça m'inquiète."

Andreï releva les yeux et sonda le regard de sa femme, en quête d'un assentiment qui lui prouverait qu'il avait bien fait de s'inquiéter.

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Son mari lui accorda un instant de tendresse mais quand la question Tilia arriva, l'autre sembla changer d'attitude, inquiet, il se demandait bien ce qui arrivait à la jeune fille.

- Je pourrais lui parler, je tenterais de la faire sortir du cadre scolaire et ensuite je parlerais avec elle pour savoir si tu veux? Je sais bien qu'en tant que professeur elle ne me supporte pas mais en tant que femme elle m'adore.

Sa main caressa le bras de son mari doucement et elle lui fit un doux sourire. Elle s'ésperait être rassurante. Ses yeux se poserent sur son mari avec tendresse et douceur. Elle esperait tellement le rendre heureux et pouvoir le combler et le rassurer. Tilia avait de quoi inquieter son tendre et beau mari.