Besoin d'air(Rp de masse)

Nous sommes le dimanche 1ére mars. Il était 11h00 du matin, et Tilia se promenait dehors. Il faisait beau et pas vraiment froid, juste un peu frait et le vent faisait flotter ses cheveux longs doucement.

Elle avait vu le soleil se lever vers 4h00 du matin, elle était debout et l'avait regarder se lever, il était si beau, si contrastant par rapport à son humeur. Vassili semblait avoir disparu de la circulation, Dieman avait découvert qu'elle avait bu... et elle avait eu une mauvaise nouvelle de chez elle, alors forcement, elle n'avait pas su dormir. Elle avait tenter de laisser aller ses pensées sur le brouillard qui avait envahit le parc de l'école jusqu'à 10h00. D'habitude, cela l'inspirait mais là rien n'était venu.

Tilia portait la robe de sorcier que lui avait offert son pére pour son entrée dans l'école, une robe noir avec quelques reflet rubis, longue mais en même temps assez séduisante. Elle ne s'était pas maquillée et avait laisser ses cheveux libres, elle marchait sans but juste esperant avoir l'esprit libre pour le reste de la journée.

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Le 1er Mars. Quelques années auparavant, au moins deux, le professeur McGonagall aurait commencé à surveiller les jumeaux Weasley qui aurait sans doute déjà préparé les affaires pour le 1er Avril. Mais ils étaient partis et même si Minerva refusait de le dire, leurs blagues lui manquaient. Sauf quand c'était elle la cible.

Le professeur soupira. Bizarrement, elle n'avait pas fermé l'oeil de la nuit et s'était levé avant le soleil, ne sachant quoi faire.

Le parc était rempli de brouillard, ce que la directrice adjointe aimait beaucoup, lui rappelant son enfance en Ecosse. D'ailleur, elle avit mis sans s'en rendre compte une de ses vieilles robes qui lui rappelait tant son manoir familial.
Elle était verte, comme d'habitude, mais beaucoup plus clair que les autres. Elle faisait ressortir ses yeux perçant. Elle était trés longue et tournoyait tellement lorsqu'elle faisait demi-tour qu'elle pourrait rendre vert de jalousie Severus Rogue.

Soupiant une nouvelle fois, ell fit demi-tour et sa robe tournoya derrière elle. Elle apperçue à ce moment là une jeune Gryffondor. Décidant de savoir pourquoi sa jeune élève était hors du dortoir de si bonne heure un dimanche - il était 7h00- elle se dirigea vers elle.

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La veille au soir, Hermione avait fait comme à tous les soirs et s'était rendue à la bibliothèque. Or, celle-ci était fermée, car Peeves s'était amusé à lancer des bombes puantes pendant le souper et il était impossible de respirer convenablement avec l'odeur. Maudissant l'esprit frappeur, Hermione n'avait eu d'autre choix que de retourner à la salle commune en attendant l'heure de sa garde. Même en se dépêchant d'aller se réfiguer dans les dortoirs, elle avait apperçu Ron et Lavande qui ne faisait qu'un. Hermione passait son temps à chercher ce que Ron lui trouvait, mais elle ne voyait vraiement pas...Bref, elle finit par passer la soirée à pleurer (même pendant sa garde, ce qui n'était pas très convainquant lorsqu'elle croisait un élève). Le lendemain matin, elle avait voulu sortir de la salle commune en vitesse, mais les deux tourteraux bloquait l'entrée des dortoirs. Elle était donc reparti dans son lit et avait attendu qu'ils s'en aillent, ne voulant pas croiser le regard de Ron. Après quelques heures, elle était enfin descendue et était allé dans le parc pour se changer les idées. Pourtant, elle avait été incapable de retenir ses pensées et quelques larmes recommençait à couler sur son visage. Elle en avait plus qu'assez de cette histoire...

Valérie, comme à son habitude, s'était réveillée avec le soleil.. En effet, elle n'était vraiment dan sle monde réel que lorsque le soleil était levé, ce qui posait parfois problème durant les journées de cours, mais aujourd'hui, il s'était levé de bon matin, et elle avec lui.
La jeune fille était donc sortie profiter de sa lumière, maudissant ce vent et cette fraîcheur matinale qui atténuaient la chaleur de l'astre.

Elle était sortie son livre sous le bras, cadeau de sa mère, et son bien le plus précieux.. Elle aurait tellement aimé faire partie de ces élémentaristes dont parlait son ouvrage.. Mais bon, elle pouvait rêver, cela était extrêmement rare.
Contrairement à ses habitudes, elle ne se dirigea pas vers la lisière de la forêt, mai splutôt vers le terrain de Quiddich.. Elle même ne savait pas pourquoi. Elle s'assit en haut des gradins, et, le soleil caressant sa peau, se mit à relire sonr la nième fois son passage préféré.

L'Italienne portait une robe noire, cadeau de sa mère elle aussi. (dans le style bellatrix =D) Les cadeaux de sa mère étaient rares, mais elle y tenait énormément.
Ses cheveux étaient répartis en éventail autour d'elle, bien qu'elle fut assise, et ses yeux étaient d'un vert émeraude, mais juste un peu plus clairs : le froid jouait aussi sur leur couleur.

La jeune fille s'était dirigée vers le terrain de Quidditch sans vraiment savoir pourquoi elle-même. Elle avait errer sans but, juste pour se liberer l'esprit. Elle avait besoin de réflechir, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait... elle voulait juste la paix...

Et puis, il y avait eu cet article dans le journal, pas celui qui la disait homosexuel, mais celui qui dévoilait son histoire et entre autre de maniére assez fausse. Et cela l'ennuyait assez fortement... Elle avait besoin de savoir qui avait fait ça, elle devait mettre des choses au points, elle avait cacher la plupart de ses origines, a savoir son pére ministre et voilà qu'on dévoilait en ajoutant quelques détails. Depuis, certaines personnes l'évitait ou bien se foutait d'elle, l'emmerdait et d'autre lui parlait trop pour être normal. Elle haissait cette situation.

La jeune fille remarqua soudainement ou elle était, elle n'avait aucune idée de l'heure qu'il était ni depuis combien de temps elle marchait, elle avait juste envie de s'assoir un petit instant. Elle alla s'installer sur les bancs et regarda droit devant elle laissant ses pensées dérivées cherchant a trouve une solution.

Invité

Le professseur avait suivit la jeune gryffondor. Elle s'était souvenue que le professeur Dieman était venue la voir pour lui parler de l'article du journal et de sa possible réaction.
La voyant se diriger vers le stade de Quidditch, McGonagall fronça les sourcils. Qu'allait donc faire cette jeune fille là bas?

Elle la vie s'assoir dans les gradins et regarder dans le vide, droit devant elle

* elle doit penser à ces articles*

L'animagus décida de s'approcher et d'essayer de lui parler.

Tout vas bien Miss Cherdinoff?

Invité

Hermione se promenait les yeux au sol. Elle ne regardait pas vraiment où elle allait et était bien contente que le parc soit aussi désert à cette heure...Lorsqu'elle leva les yeux et qu'elle essuya les larmes qui coulaient encore, elle remarqua qu'elle était au début du terrain de quiddich. Il y avait 3 personnes présentes, dont le professeur McGonagall...trop de monde pour elle. Elle fit demi-tour et se dirigea dans la direction opposée.

Valérie était totalement dans ses pensées, quand elle entendit un bruit.. Elle détourna les yeux du soleil, et tomba pile.. Sur Hermione qui s'en allait. Les autres ? Même pas vus. Elle avait trouvé quelqu'un, elle le gardait. Point.

- Ben Granger ? T'as peur de moi ?

Etant donné qu'elle n'avait pas vu les autres, elle pensait être seule avec la gryff'.

(je finirai apres désolée mais la y'a un bug système qui m'empêche de rep)

Tilia n'avait pas remarquer son professeur de métamorphose, en fait, elle ne se rendit compte de sa présence seulement quand celle-ci alla lui demander si tout allait bien. Elle leva les yeux et lui fit un petit sourire rassurant, elle avait horreur d'avouer ses faiblesses, sauf si c'était à sa famille donc son parrain et Vassili compris.
- Oui, il n'y a pas de probléme professeur, je pensait au cours et me demandait si tous allait bien chez moi. Je me demande comment se débrouille ma tête en l'air de mére chez moi.

Elle ne mentait pas, même si c'était pas vraiment son souci le plus important, oui, elle avait un peu le mal du pays parfois, même si elle avait deux des êtres qui lui était le plus cher avec elle... mais sa famille, ses autres amis lui manquait, elle mourrait d'envie d'aller les revoirs, leurs hurler bonjour et de courir avec Vassili dans les couloirs déclamant son amour pour son meilleur ami.

Invité

Hermione pensait avoir passé inaperçue, mais ce n'était pas le cas. Elle n'avait fait que quelques pas quand Valérie lui lança une réplique condescendante. Elle connaissait bien Valérie, c'était probablement la deuxième serpentard qui l'achalait le plus après Malefoy... C'était quoi son problème ? Elle ne pouvait pas la laisser tranquille un peu ? Hemione n'était pas d'humeur à se chicaner avec des serpentards et c'est pourquoi elle se retourna et dit, sans aucune agressivité :

Qu'est-ce que tu veux Valérie ?

Elle sourit, les yeux vert émeraude.. Elle était contente, elle avait le soleil sur sa peau, une lettre de ses parents -malgré le fait qu'elle l'informait d'une autre de leurs missions-, et de quoi s'amuser..

- Ce que je te veux ? Juste savoir pourquoi tu t'enfuis presque en courant quand tu me vois.. Pauvre choute.. Tu n'as donc pas aimé la blague de la dernière fois ? Ce n'était que de la bouse de dragon pourtant..

Elle éclata d'un rire cristallin.. En effet, recouvrir granger de bombabouses à la sortie de sa douche avait été un malin plaisir.. Mais elle s'arrêta.. Quel dommage qu'elle n'aie eu qu'à se retourner et à re-rentrer dans la salle de bains des préfèts pour tout enlever.. Il n'y avait qu'elle qui avait profité du spectacle, et SKy n'avait même pas voulu la croire ! Heureusement, l'odeur persistante l'avait convaincu de la véracité de ses dires le lendemain..

- Bouh.. D'ailleurs, tu sens encore.. Ouh, non.. A moins que ce ne soit l'odeur de ton sang impur ?..

(hrp : topic avant la mort de mes parents. On ne peut punir une élève pour son éducation)

Invité

Hermione se souvenait de la mauvaise blague de Valérie.Ça lui avait pris une semaine avant de se débarrasser complètement de l'odeur, même après avoir été dans la salle de bain des préfets...Elle croisa les bras devant le discours discriminatoire de Valérie puis ajouta :

C'est bien ce que je pensais. Tu n'as rien d'intéressant à me dire...

Puis, elle lui tourna dos et recommença à marcher vers l'école.

Invité

- Oui, il n'y a pas de probléme professeur, je pensait au cours et me demandait si tous allait bien chez moi. Je me demande comment se débrouille ma tête en l'air de mére chez moi.

Il y avait un brin de tristesse dans sa voix. Le professeur Dieman avait raison en avouant à la directrice des Gryffonds que quelquechose n'allait pas avec cette élève. Elle qui d'habitude était toujours joyeuse, pleine d'entrain, semblait mausade et un petit peu dépressive.

Je vois bien que quelquechose ne va pas mlle Cherdinoff. Et je ne suis pas la seule. Vos amis s'inquiète beaucoup pour vous. Vous savez que ma porte est toujours ouverte aux élèves qui ont des problèmes et souhaite en parler. Ma porte et celle du professeur Dieman aussi d'ailleur.

Le professeur Mac Gonagall tentait d'être gentille et lui ouvrait sa porte, la jeune Tilia lui fit un petit sourire et regarda les alentours. Oui, Andreï était toujours à l'écoute pour elle, c'est certain, mais malheureusement parfois, trop proctecteur ou trop grand frére, il connaissait parfois trop les personnes dont il était question.

- La derniére fois en lettre, je me suis disputée avec mon pére, j'ai peur que Vassili me lache, je me suis mis avec lui il y a si peu de temps... mais depuis son retour, il a tellement changé, avant on était les 4.000 coups et là... il me retients beaucoup plus ... Je sais bien que je ne suis pas parfaite mais j'ai peur que cela nous éloignes sans compter à cause de ce que l'article du journal dit aussi, il ne se souvient plus de tout, ni de mes farces précedentes... Je suis totalement perdue, et je ne sais plus quoi faire, je sais bien qu'Andreï sera toujours la pour moi mais parfois il connait bien trop les gens et puis c'est pas toujours facile de parler au meilleur ami de son pére, à son parrain ...

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